✍️ Nanotechnology and DNA : The New Weapons of Global Control – Your Freedom at Stake ! Quantum Dots, DNA Barcoding, Nano-Razors & The Israeli State : Une Réflexion sur les Dangers de la Nanotechnologie.
📍 Dans un contexte où la science et la technologie ne cessent d’évoluer, l’émergence de la nanotechnologie a provoqué des débats animés, notamment en ce qui concerne son utilisation dans les vaccins et les biotechnologies modernes. L’article intitulé « Quantum Dots, DNA Barcoding, Nano-Razors & The Israeli State » de Dr. Ariyana Love présente une critique profonde de ces avancées technologiques, en soulignant les risques potentiels pour la santé humaine, la société et l’éthique.
La découverte inquiétante de Graphène Hydroxide.
Au cœur de cette analyse, l’auteure met en lumière les recherches du Dr. Andreas Noack, qui aurait découvert des nano-lames de Graphène Hydroxide dans les vaccins Pfizer. Ces particules extrêmement fines, visibles uniquement sous microscopie en champ sombre, seraient, selon l’auteure, responsables de la dégradation cellulaire à l’intérieur du corps humain. Cette découverte, accompagnée de la mort mystérieuse du Dr. Noack peu de temps après ses révélations, suscite de nombreuses questions sur les véritables effets des ingrédients présents dans les vaccins à ARNm.
Les nano-lames, comparées à des » rasoirs « , sont décrites comme des substances toxiques introduites sans consentement éclairé des individus. Cette constatation soulève des inquiétudes majeures sur les possibles impacts à long terme sur la santé, notamment des réactions inflammatoires graves, ou encore des tempêtes de cytokines, causées par l’inhalation et l’injection de ces matériaux.
Quantum Dots et Barcodage ADN : un contrôle humain total ?
L’article explore également la technologie des » Quantum Dots « , des nanocristaux de carbone utilisés pour le bio-suivi et l’imagerie médicale. Développés à l’origine pour lutter contre le cancer, ces outils technologiques sont détournés, selon l’auteure, pour un traçage génétique des humains à l’aide de la technologie CRISPR-Cas-9. Les Quantum Dots seraient capables de » barcoder » l’ADN humain, permettant ainsi un suivi et une surveillance constante des individus. Une telle application pourrait mener, selon l’auteure, à une réduction drastique des libertés individuelles.
Les Microbulles et Microsphères : Un Système de Libération Programmée.
En complément des Quantum Dots, les microbulles et microsphères mentionnées dans les brevets de Pfizer et Moderna sont présentées comme des véhicules de livraison chimique et génétique, capables de traverser la barrière hémato-encéphalique. Ces microdispositifs, enrobés de Graphène Oxide-PLGA, sont décrits comme étant conçus pour libérer leur charge de manière programmée dans le corps humain. Cette méthode de libération prolongée, qui peut s’étaler sur des semaines, voire des mois, représente, selon l’auteure, un danger potentiel puisqu’elle permettrait l’introduction progressive de substances étrangères dans l’organisme à l’insu des personnes concernées.
📍 Le rôle de l’État israélien dans cette technologie.
Un autre volet important de l’article est consacré aux liens entre l’État israélien et le développement de ces technologies. Dr. Love souligne que plusieurs brevets liés aux Quantum Dots et aux vaccins ARNm sont détenus par des institutions israéliennes, notamment l’université hébraïque de Jérusalem, à travers sa société Yissum https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=soci%C3%A9t%C3%A9+Yissum. Cette connexion suscite des interrogations sur l’implication de l’État israélien dans ce qu’elle décrit comme une tentative mondiale de » marquage » génétique des humains.
Conclusion : Un Appel à la Vigilance.
L’article de Dr. Love se termine par un appel à la vigilance face à ces technologies qu’elle perçoit comme dangereuses et non éthiques. Selon elle, l’utilisation de la nanotechnologie dans les vaccins et les traitements médicaux actuels pourrait marquer le début d’un contrôle accru sur la vie humaine. L’introduction de matériaux comme le Graphène Oxide, combiné avec des systèmes de bio-surveillance tels que les Quantum Dots, soulève des questions fondamentales sur la liberté individuelle et le consentement éclairé.
En conclusion, bien que les technologies présentées dans cet article puissent offrir des opportunités considérables pour la médecine, elles représentent également, selon l’auteure, une menace pour l’intégrité physique et la liberté humaine. L’humanité se trouve à un carrefour technologique, où la vigilance et le discernement sont plus que jamais nécessaires.
📍 Complètement d’article.
L’aspect de l’article concernant le rôle de l’État israélien dans le développement et l’utilisation des Quantum Dots est un sujet central qui mérite une analyse plus approfondie.
Collaboration entre Israël et les entreprises technologiques : Le lien entre Israël et la technologie des Quantum Dots s’articule principalement autour de l’Université Hébraïque de Jérusalem et sa société de transfert de technologie, Yissum. Yissum a signé un accord exclusif avec Nanosys, une entreprise américaine spécialisée dans les Quantum Dots. Cet accord permet à Nanosys de détenir plus de 60 brevets mondiaux liés à cette technologie, incluant des compositions sans métaux lourds et des structures innovantes comme les nanorods, utilisés pour améliorer les performances photoélectroniques dans des domaines variés tels que l’affichage et la santé. [Nanosys Press-Releases]
Intérêts stratégiques de l’État israélien Israël, à travers des institutions comme l’Université Hébraïque, jouant un rôle prépondérant dans le développement et la commercialisation de la nanotechnologie. Cette collaboration avec des entreprises internationales comme Nanosys montre que l’État israélien a un intérêt direct dans le déploiement de ces technologies à l’échelle mondiale. La portée des brevets de Yissum, qui incluent plus de 450 brevets à travers le monde, montre également l’influence croissante d’Israël dans ce domaine. [Nanosys Signs Licence pour le contrôle des brevets de QD de ittes]
La question de l’éthique et de la surveillance Selon certains critiques, comme le Dr. Ariyana Love dans l’article initial, ces développements posent des questions éthiques importantes, notamment en matière de contrôle et de surveillance génétique. En utilisant les Quantum Dots pour le « barcoding » de l’ADN humain, ces technologies pourraient être utilisées pour surveiller les individus de manière intrusive. Cette technologie, développée à l’origine pour des applications médicales, pourrait selon ces critiques, être détournée pour des objectifs de contrôle global. [Nanosys Signs Exclusive License Agreement for Control of Yissum Quantum Dot Patent Portfolio]
Aussi, bien que l’innovation technologique israélienne soit reconnue sur la scène mondiale, elle suscite des préoccupations en matière de vie privée et de bioéthique, surtout lorsqu’il s’agit d’interventions directes sur l’ADN humain. Le rôle d’Israël dans ce secteur met en lumière des enjeux qui vont bien au-delà de la technologie, touchant à la liberté et aux droits fondamentaux de l’individu.
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